En arrivant sur le marché du travail, Pascal s’est vite demandé si l’optométrie serait le bon métier pour lui sur la durée, mais son expérience chez DOYLE lui a confirmé qu’il était possible de combiner à merveille un savoir-faire traditionnel et sa personnalité pétillante dans un même poste. Voici son histoire.

Au-delà des options classiques

« Quand on devient optométriste, on a l’impression que notre avenir va suivre une trajectoire classique, commune à tous les gens du métier », explique Pascal. En effet, pour la plupart des jeunes optométristes sortant de l’école, la voie est tracée. On imagine son avenir, soit :

  • En tant que travailleur autonome dans un bureau d’optométrie;
  • En tant qu’associé d’un bureau d’optométrie;
  • En tant qu’enseignant/clinicien de la profession.

Bien sûr, cette réalité peut être très différente selon le type de bureau d’optométrie dans lequel on exerce sa profession, mais on peut avoir l’impression que les options sont, en quelque sorte, limitées. Quand on aime le flou, l’improvisation, les possibilités, ce constat peut être un peu terrifiant.

 

Une pépinière de talents connexes

Sa première année en poste, Pascal cumule deux emplois : l’un dans la boutique DOYLE de Sainte-Foy et l’autre, dans un bureau indépendant de la région. En grand questionnement, Pascal se demande quel type de pratique serait le plus adapté à sa personnalité. Il commence à discuter de son désir de s’impliquer davantage dans son milieu avec les associés des bureaux dans lesquels il travaille… et se retrouve rapidement contacté par Patrick Doyle et Karl Brousseau, président et vice-président du Groupe DOYLE.

Autour d’un poulet St-Hubert et d’une bonne bière, le trio se met à jaser. D’aspirations, de la profession d’optométriste… et même de philosophie! Une belle chimie s’installe entre eux et, à la grande surprise de Pascal, on lui offre vite un poste en tant que coordonnateur engagement et culture – un poste taillé sur mesure qui lui permettra d’utiliser les qualités qui font de lui un optométriste pas comme les autres et qui lui assurera d’avoir le sentiment de s’engager, de relever des défis et d’être un pionnier dans son domaine.

Selon Pascal, cette offre témoigne « d’une belle confiance » de la part du Groupe. « Le canevas de job correspondait parfaitement à la description de ma job de rêve. Je n’aurais pas pu la décrire mieux », s’exclame-t-il! Aujourd’hui encore, Pascal est toujours incrédule face au fait que Patrick et Karl ont su reconnaître si rapidement ses forces pour créer un poste qui, en plus de lui plaire, comblait en tous points un besoin pour le Groupe.

 

Un rôle qui évolue

Aujourd’hui, les journées de Pascal sont partagées entre la pratique de l’optométrie et son rôle de gestionnaire au siège social du Groupe. Une grande partie de son énergie est consacrée à s’impliquer auprès de l’Université de Montréal pour recruter des profils ambitieux et talentueux, afin de faire grandir l’équipe chez DOYLE.

Il organise des événements, crée des liens avec les étudiants et les aide à voir tous les chemins possibles qui s’offrent à eux. Et, dans la dernière année, le rôle de Pascal a continué d’évoluer. Il contribue notamment au déploiement de cliniques de sécheresse oculaire dans différentes boutiques DOYLE en collaboration avec Karl Brousseau! Comme il apprend constamment, il reste très motivé et sait qu’il participe à la croissance de l’entreprise, ce qui est très valorisant pour lui. 

Comme quoi donner à un jeune les moyens de ses ambitions, c’est toujours gagnant!